Pour prévenir, il faut prédire. Prédire la pathologie nécessite de connaître la physiologie. Prendre en charge les problématiques buccodentaires, c’est aussi aborder les fonctionnalités d’autres organes tels que le foie ou le pancréas, et de systèmes régulateurs tels que les systèmes neurovégétatif et endocrinien.
Ces fonctionnalités sont à la base de phénomènes biologiques fondamentaux : congestion, inflammation, métabolisme, immunité, cicatrisation… Intégrer ces connaissances dans la pratique odontostomatologique, c’est mieux comprendre son patient dans son unicité et dans les adaptations qu’il met en œuvre pour maintenir son équilibre physiologique de référence, autrement dit, son terrain.
Connaître son terrain aide à prévoir les évolutions possibles de son état de santé buccodentaire, pour mettre en place des stratégies thérapeutiques variées de prévention, et de traitements.